La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis DEvans (Épisode N°1525)
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) Suite de l'épisode précédent N°1524) -
Chapitre 4 : Le collier -
Inutile de dire que cette conversation, comme cette après-midi chez le Marquis dEvans mavait totalement chamboulé.... Je tournais en rond dans ma chambre, celle de mon enfance, qui avait été réaménagée lorsque javais eu vingt ans. Elle nétait pas la plus grande, mais jappréciais sa luminosité avec le soleil du matin passant à travers les persiennes ajourées. Son ameublement sobre, juste un lit avec une vieille armoire style Louis Philippe et surtout ma bibliothèque, construite de mes mains, de simples rayonnages en pin fixés au mur de la cloison mitoyenne avec la salle de bain. Celle-ci était remplie, javais des livres de grands auteurs de partout, dans tous les sens, les rayons étaient archipleins, rien nétait classé, organisé. Jaimais toucher mes livres, les respirer, sentir lodeur du papier et de lencre, qui se mêlait aussi avec les effluves de ce papier dArménie que je glissais ici ou là. Cette bibliothèque, ces livres, ces senteurs mapaisaient et avaient une véritable âme, ce que lon ne retrouvera jamais dans la lecture numérique
.
Javais grand besoin de quiétude ce matin, ma nuit navait été que bouillonnement et exacerbation, bref, je navais rien dormi ! Mais difficile ce matin de rester en place, de prendre un bouquin et de mallonger sur mon lit
non, je ny parvenais pas. Je faisais les cent pas, allais et venais, comme si jétais retenu là, dans cette pièce, sans pouvoir sortir, comme emprisonné. Pourtant, seul mon sexe létait, cette maudite cage fixée sur mon membre, paradoxalement menchainait, memmurait dans cette chambre. Javais ce sentiment, cette impression-là, têtre tenu séquestré et de ne pouvoir agir comme bon il me semblait. Ma nouille, comme disait Monsieur le Marquis, avait, à multiples reprises, cherché à sépanouir, se redresser
mais la contrainte était-elle, quelle mempêchait toute bandaison.
Combien de temps allais-je devoir subir cette contrainte ? Monsieur le Marquis mavait juste dit avant que je le quitte, quil me rappellerait en temps utile, quil me convoquerait au moment opportun pour que jaille me faire traire, mais quen attendant, la frustration sexuelle ne me ferait que du bien. Si jen navais pas compris sur linstant le sens de Ses mots, jen ressens maintenant les bienfaits psychologiques
Me faire traire
cétait bien le mot utilisé par le Noble. Me considérait-il comme une vache, une brebis, une chèvre ? Peut-être. Il mavait bien traité de chien soumis, il me lavait fait dire et redire à haute et intelligible voix
« Alex, arrête de te faire du mal », me disais-je, ces pensées menflammaient, mon corps frissonnait, mon bas-ventre réclamait
mais jen comprenais enfin les raisons. En effet, depuis cet échange téléphonique avec oncle Frédéric, je savais maintenant pourquoi, jétais ainsi fait. Je ne voulais rien savoir sur ce quavait fait, ou pas fait, mes parents au Château dEvans, non rien, rien du tout ! Leur vie intime ne mintéressait pas, je navais rien à connaître de leurs expériences, de leurs éventuelles soumissions supposée auprès de Monsieur le Marquis. Seule chose qui me réjouissait, mexultait, je comprenais désormais et admettais de plus en plus mon besoin de soumission. Il métait maintenant évident, indéniable, incontestable parce que tout ça était inscrit dans mon patrimoine génétique.
Trois jours durant, jétais resté cloitré dans ma chambre, sans presque manger, sans sortir à lextérieur, sans voir personne hormis Louise, inquiète de ne pas mentrcevoir. Je lui avais dit que je travaillais dur sur mes projets dinstallation ici à la Bastide. Tu parles, trois jours à ne rien faire, seulement à écouter un peu de musique, à ressasser et re-ressasser mille fois cet entretien avec Monsieur le Marquis, à me revoir nu devant lui, à ressentir les mains de son Majordome glisser sur ma peau moite, son doigt senfoncer dans mon intimité anale, à attendre encore, à me précipiter sur mon téléphone à chaque fois que celui sonnait, à attendre le moment venu où tomberait ma convocation au Château, comme un attendrait le père Noël. Mais rien
toujours rien
Jétais comme un lion en cage, rugissant comme lui parce que mon sexe gonflé et douloureux cherchait la libération, je sentais mes couilles pleines et que je ne pouvais pas soulager. Javais bien essayé de faire tomber la pression, en essayant de me masturber, avec ma main, la chose était impossible
Javais tenté de frotter mon bas-ventre contre le matelas de mon lit, ce navait été que supplice et souffrance supplémentaire. Alors pour calmer mes ardeurs sexuelles, jessayais de temps à autre, de tremper mon sexe encagé dans une grande bassine deau froide
Non, pensais-je, Monsieur le Marquis, la frustration ne me faisait pas du bien !
Et pourtant, je ne me rendais même pas compte que si ! Car si elle empêchait ma forte libido de sexprimer, elle me rendait de plus en plus dépendant de ma servilité innée et latente, qui, il y a encore peu de temps métait encore insoupçonnée... Il était 19 heures, lorsquenfin, je recevais un SMS de Walter :
- Bonsoir le chien soumis, Monsieur le Marquis, le Seigneur et Maitre du Château dEvans te convoque ce soir à 20 heures précises.
Je reconnaissais bien là, le vocabulaire sans ambages de Walter. Je me précipitais sous la douche, me lavais soigneusement. Je sautais dans un short et dans ma voiture pour prendre la route menant au Château. Dieu merci, ni Charles, ni Louise ne mavait vu sortir, dieu merci, il faisait beau et chaud encore ce soir dété, cela permettait de justifier ma tenue plus que sommaire. A 19h58, je me présentais devant le grand portail, celui-ci souvrait. Cette fois-ci, cétait Monsieur le Marquis Lui-même qui mattendait sur le perron. Il était en tenue plus décontractée, un polo Lacoste blanc, un pantalon de toile bleu marine, des chaussures de toile aux pieds. Je ne pouvais pas, ne pas remarquer les deux femelles soumises, deux jeunes femmes très belles et en quadrupédie derrière Lui et quIl tenait en laisse les reliant à un épais collier à leur cou. Elles étaient silencieuses et baissaient la tête. Je remarquais quelles avaient les tétons annelés où une chainette en or reliait leurs deux seins, pour chacune
Jallais me précipiter vers Lui, mais me ravisais aussitôt. Il me fallait avoir une attitude révérencieuse, soumise, respectueuse. Javançais donc humblement dans une attitude qui témoignait de mon humilité. Je ne savais pas, si je devais lui tendre la main pour le saluer, lorsque jarrivais à sa hauteur, je me contentais de baisser un peu plus la tête en gage de soumission sincère et profonde. Je sentais Son regard posé sur moi, Il mexaminait de pied en cap, me contournait sans rien dire, la longueur des deux laisses étant assez longues pour cette manuvres. Derrière moi, Ses mains se posaient sur ma taille, et en peu moins de temps quil ne le faut pour le dire, Il baissait mon short brutalement. Mon embarras était évident, me faire déshabiller ainsi, me retrouver à poil, short aux chevilles devant ces deux femmes nues et à quatre pattes, là, sur le perron de ce fabuleux Château, je ne lavais pas imaginé un instant.
- Aux pieds, chien ! Embrasse-Moi les pieds, comme un chien soumis doit le faire près du Maître, je veux sentir ta langue !
Je tombais à genoux, puis me mettais à quatre pattes, tête basse, fessier relevé. Jamais je navais tenu jusquici une telle posture, je me sentais maladroit, mais bien à ma place, intimement à ma place. Sans doute conscient de mon inexpérience en la matière, Monsieur le Marquis mexigeait de corriger ma position par un petit coup de cravache sur mon cul nu.
- Dégage ce short seulement avec tes pieds, débarrasse ten, tu nen as pas besoin ici.
Chose faite, le Noble avançait Son pied droit tout en me disant :
- Poses tes avant-bras au sol, passes-les autour de Ma jambe, sans la toucher, poses délicatement tes lèvres sur Ma chaussure, tends tes fesses, cambres tes reins, écartes les cuisses largement.
Jobéissais scrupuleusement aux exigences données, corrigeant ma posture au fur et à mesure des consignes données. Mes genoux me faisaient mal, mon sexe dur et comprimé était plus que douloureux, mais je navais nulle envie de me plaindre, car tellement heureux de me retrouver dans cette condition de chien soumis. Et à ce moment-là, je compris le véritable bien-être que visiblement devaient ressentir les deux femelles en laisse qui restaient dans une immobilité parfaite
- Allez lèche bien alex, je veux sentir ta langue, je veux te voir prendre du plaisir à honorer le Maitre que Je suis. Détends-toi, dis-toi que ta place est ici, près de Moi. Ecarte un peu plus encore les jambes, naies pas peur de montrer ton petit trou, offre-le, à Moi dabord, à la nature ensuite, à ceux qui pourraient le regarder. Sens-tu les derniers rayons du soleil venir darder ta rondelle. Tu es beau, tu sais alex en te débauchant et te dévergondant ainsi pour Moi, parce que Je lexige et le veux, parce quaussi, cest ta propre Nature servile de vivre tout simplement ce que tu es
Ses paroles maidaient, je faisais fi de tout ce qui pouvait se passer autour de moi, jen oubliai la présence de ces deux magnifiques créatures féminines et je me concentrais sur ce Pied, en le léchant presque amoureusement. De temps à autre, Monsieur le Marquis se penchait pour caresser mes fesses, pour effleurer mon anus du bout de Ses doigts. Je frissonnais de plaisir et de bonheur, sentais ces frissons courir le long de ma colonne vertébrale.
- Tu as bien nettoyé ton petit cul de salope, alex ?
Je hochais de la tête pour confirmer, sans pour autant lâcher cette chaussure de toile.
- Mets-toi à quatre pattes, alex, tes bras dans laxe de tes jambes que tu ne dois pas resserrer. Reste ainsi, le regard droit.
Monsieur le Marquis saccroupissait devant moi me prenait la tête entre ses mains et me questionnait.
- Tu es bien ainsi alex ?
- Oh Oui, Maître !
Je venais de lappeler Maitre, ce vocal utilisé pour dénommer Monsieur le Marquis était sorti naturellement tout seul, comme une évidence pour moi.
- Tiens, lèche et suce-Moi le doigt, petit chien soumis, imbibe le bien de ta salive.
Avec un réel sentiment de dévotion, je suçais ce majeur tendu. Je le recevais en moi, comme un don divin, générant un effet incommensurable, à me demander même si, là, sur le perron, je nallais pas jouir sans même me toucher.
- Cest bien alex, je te vois honoré et bouleversé de me sucer ce doigt, quen sera-t-il lorsquen lieu et place, tu auras Mon Sexe à vénérer ?
Je ne répondais pas, ne réagissais pas
me contentais juste de ressentir ce sentiment dabandon et dappartenance, de jouissance mentale.
- Remets-toi en levrette, offre de nouveau ta rondelle à Mon regard.
Monsieur le Marquis retirait Son doigt de ma bouche, se redressait, me contournait pour se placer entre mes cuisses écartées. Son doigt humide frôlait mon anus, caressait délicatement mon entrée intime, puis commençait à la pénétrer doucement, tranquillement. Je le sentais glisser en moi.
- As-tu déjà été enculé, petit chien soumis ?
- Oui Maître.
- Plusieurs fois ?
- Oui Maître, lui répondais-je en haletant
- Walter avait vu juste, ton trou est à la fois souple et tonique, de belles perspectives en vue.
Je laissais Monsieur le Marquis explorer mon intérieur, son doigt allait et venait tantôt tranquillement, tantôt énergiquement. Je haletais de plus en plus fort, ressentant de plus en plus cette totale aliénation.
- Tu es propre et cest tant mieux pour toi, me disait Monsieur le Marquis en se redressant puis en revenant vers moi.
Le Châtelain mattrapait énergiquement par les cheveux pour que je redresse la tête, me tendait le même doigt, lenfonçait dans ma bouche.
- Suce salope, suce bien ! Je veux que tu comprennes quici, lhygiène est primordiale. Tu dois toujours avoir le cul propre, car à tout moment tu peux être léché, doigté ou enculé, quel que soit le lieu où lheure, tu peux être utilisé...
A la suite de ça, Monsieur le Marquis sortait de Sa poche ce que je croyais être une lanière en cuir. Je me trompais. Devant moi, Il me montrait un petit collier.
- Tu sais ce que cest ça ?
- Oui Maître
- Tu en connais la signification ?
- Je crois le savoir Maître.
- Ceci est effectivement un collier que tu porteras toujours ici. Cest un lien indéfectible et inaltérable qui te lie à Moi le Maître, une sorte dalliance que toi seul pourra ôter, le jour où tu souhaiteras reprendre ta liberté. Car aucun de mes soumis ou soumises nest retenu de force ici. La soumission nest surtout pas une prison, cest un besoin dêtre, une nécessité naturelle. Eux seuls, ont ce pouvoir, ce seul pouvoir que je leur accorde, de se libérer de Mon Joug. Sils le font, ils retrouvent leur liberté de faire et dagir, tout en sachant que jamais ils ne reviendront près de Moi ! Alors une question alex, juste une question
.
Monsieur le Marquis restait silencieux un long, très long moment. Il reprenait son souffle, saccroupissant devant moi une nouvelle fois, prenant de Sa main, mon menton pour me faire relever la tête :
- Souhaites-tu être ce chien soumis qui sommeille en toi et te donner à Moi corps et âme et vivre ta propre Nature ?
Sans une once dhésitation, je répondais :
- Oui Vénéré Maître ; je ressens tellement ce besoin dêtre ce que je suis
Alors Monsieur le Marquis me passait le collier autour du cou, le fixait et membrassait le front presque affectueusement, en me disant sur un ton solennel :
- Dorénavant, tu mappartiens et tu tappelleras alexsoumis ...
(A suivre
)
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